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De sa création/reprise à son expansion et à travers toutes ses phases de croissance, la survie d’une entreprise dépend de la rigueur de sa gestion. Cette notion repose sur un trépied qui fait articuler des objectifs, des ressources et une politique de mise en marche, destinée à concilier les deux. Cela correspond à une série d’activités incombant au manager, assortie d’un jeu de compétences qu’il doit mettre en avant. Gérer une entreprise revient à chercher un point d’équilibre entre ces différents éléments. La survie de l’organisation passe par le maintien de cet équilibre.
Survie d’une entreprise : un destin sous influences
La notion de survie effleure l’esprit du dirigeant d’entreprise quand celle-ci en est à ses premiers pas. À ce stade, les statistiques ne sont pas particulièrement optimistes. Elles établissent que sur 3 entreprises créées, une ne survivrait pas à sa troisième année. Ce constat émane de l’agence pour la création d’entreprise (APCE). Cette institution a d’ailleurs identifié les facteurs jouant en faveur des organisations qui arrivent à maintenir le cap. L’ambition du projet de création et le volume de financement injecté semblent constituer un critère déterminant dans le destin d’une structure nouvellement créée. D’après les chiffres disponibles, le secteur d’activité de l’entreprise conditionne aussi son comportement face à la conjoncture et sa survie. Par exemple, les entreprises travaillant dans le secteur santé ont un taux de survie de 87 %, contre 59 % pour celles qui évoluent dans le commerce.
La pérennité de l’entreprise semble, enfin, dépendre du profil de son dirigeant, de son expérience dans l’entrepreneuriat et à son poste de fonction. Il faut noter que les managers, s’entourant d’experts dans la phase de lancement de leur entreprise, augmentent les chances de survie de leur structure. Le taux de pérennité est alors 8 fois plus élevé que dans les organisations non accompagnées. En même temps, il est clair que la survie de l’entreprise n’est pas une préoccupation propre à sa phase de lancement. Toutes les périodes charnières – l’expansion, la stabilisation, la transition technologique – représentent des étapes où la survie de l’entreprise peut être remise en cause.
La gestion de l’entreprise : clé de voûte de la pérennité
Au gestionnaire de l’entreprise incombe un certain nombre de missions qu’il décline en des activités tout aussi variées. Celles-ci relèvent autant de la logistique et de la comptabilité que de la fiscalité, ou de la communication et du suivi-évaluation. Le manager est appelé à porter plusieurs casquettes et à développer des compétences pointues en multitasking.
Dans le volet comptabilité, le gestionnaire d’entreprise doit maîtriser les notions clés telles que les prévisions de trésorerie. Il s’engage à faire des choix rationnels en matière d’engagement de frais et à décliner une stratégie de prix viable. La comptabilité fournisseur et la gestion des comptes clients relèvent également de sa supervision. Il en est, de même, des responsabilités de l’entreprise vis-à-vis du fisc. La gestion d’entreprise est également une affaire de suivi et de contrôle, avec des mesures de la performance, des activités de suivi de stock et des procédures d’évaluation de la qualité. Pour garder la maîtrise sur ces engagements variés, le gestionnaire d’entreprise gagne à établir une charte personnelle de performance. Cette référence lui rappellera d’ancrer son leadership, d’apprendre à déléguer quand et là où il le faut et d’orienter tous ses choix et décisions vers les résultats.
Acquérir des aides et des conseils pour la survie de son entreprise
Dans la croissance de l’entreprise, à l’occasion d’une restructuration, ou simplement pour consolider les acquis, il est bon de solliciter des compétences extérieures. Les offres de formation en matière de gestion d’entreprise sont légion et se déclinent dans des formules qui s’adaptent à tous les profils. Les CMA et les CCI constituent des adresses privilégiées vers lesquelles les dirigeants d’entreprises en phase de décollage peuvent se tourner. À l’occasion, prenez connaissance des outils de financement de formation et des aides auxquels vous pouvez prétendre, en tant que chef d’entreprise. Recruter un expert pour un accompagnement intramuros de votre structure constitue une solution alternative. Ce conseiller en gestion prévoit différentes approches, selon le profil de votre entreprise et le budget que vous souhaitez mobiliser. Aide à l’établissement d’un business modèle, étude de comptabilité prévisionnelle ou coaching sont autant de solutions mises à disposition.